• ORIGINE ET DESCRIPTION

    Les poissons rouges sont certainement les poissons d'ornement les plus anciens. En France, ils sont connus depuis plus de deux siècles au Japon depuis plus de quatre et en Chine depuis plus de dix. Le Carassin doré est extrêmement rustique, peu coûteux, demandant un minimum de matériel, et son alimentation est très facile, même pour un débutant. Le poisson rouge a sa place aussi bien dans un aquarium que dans un petit bassin extérieur ou dans un étang spacieux (1).

    .

    Les grandes tailles sont plus rares et se vendent plus cher que les petites.

     

    CHOIX DES POISSONS

    Il y a deux méthodes qui ont leurs avantages:

    1-L'acheteur de beaux poissons de grandes tailles aura la satisfaction immédiate de pouvoir peupler son aqurium de beaux spécimens.Mais si l'on se place au point de vue reproduction et éducation de l'amateur, ce dernier n'aura absolument rien appris.D'autre part, les poissons de tailles exceptionnelles sont généralement des reproducteurs réformés(stériles ou vieux) donc, pour l'acheteur qui veut faire de l'élevage, une source d'intéret de moins ;la reproduction avec ces sujets est souvent problématique.

    2-il semble préférable d'acheter des jeunes poissons de quelques mois ; ceux-ci doivent être examinés trés sérieusement avant d'^tre choisis. les colorations blanches et roses, dominantes sur le corps, sont prfois éliminatoires; mais un poisson bronzé devient généralement ornge ou rouge.

     

    LES DIVERSES

    VARIETES DE

    CARASSINS DORES

    POISSON ROUGE 
    COMMUN

    SHUBUNKIN

    COMETE

    POISSON ROUGE 
    VOILE

    COMETE - VOILE

    QUEUE - DE - VOILE COMMUN

    QUEUE - DE - VOILE 
    DE HAUT LIGNAGE

    POISSON - OEUF

    TETE - DE - LION

    ORANDA

    TETES - COIFFEES
    TETES - DE - TIGRE

    TELESCOPE CHINOIS

    QUEUE - DE -VOILE TELESCOPE

    TELESCOPE

    LORGNETTE - DE - CIEL

    TETE - A - FLOTTEURS

    YEUX - DE - DRAGON

    POMPON

    OUIES -RETROUSSEES

    PERLE

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    Pour la décoration, il faut s'inspirer le plus possible des paysages aquatiques - pour obtenir une composition naturelle, logique, originale et esthétique.

    Le décor doit correspondre au milieu naturel des poissons, avec une place suffisante pour leurs ébats.

    Les pierres doivent être choisies avec un grand soin, de formes harmonieuses et d'origine simple (granits, grès, marbres, silex). Pour les Carassins les pierres naturelles de formes arrondies (pierres de Fontainebleau, gros galets) sont préférables à celles ayant des arêtes vives ou coupantes qui peuvent abimer les nageoires. Les pierres ayant de belles couleurs (quartz, cristal de roche, schiste pailleté etc.) nuisent par leur éclat à la mise en valeur des poissons.

    ]

    NOURRITURE

     

    Le poisson rouge est omnivore, il mange de tout, mais il faut observer une certaine règle pour éviter des accidents nutritifs.

    1- Il est recommandé de faire une petite distribution Journellement ; cette ration doit être absorbée complètement en 16 minutes environ. Les poissons peuvent jeûner un jour par semaine sans inconvénient.

    2- La nourriture vivante est toujours préférable à la nourriture sèche ; cette dernière est surtout utile pendant les périodes de pénurie de proies vivantes.

     

      

     


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  • ORIGINES


    Le chinchilla est un petit rongeur nocturne de la famille des chinchillidés. Son nom viendrait, apparemment, d'une tribu indienne nommée : "les Indiens Chinchas", qui utilisaient les peaux pour s'en faire des vêtements. Son origine vient aussi du nom "Chinche" qui signifie "punaise, animal puant", pourtant notre petit mammifère n'a aucune mauvaise odeur. Il est apparenté aux cochons d'Inde et convoité, chassé pour sa fabuleuse fourrure. C'est ainsi qu'il est très rare de nos jours à l'état sauvage. En effet, au siècle dernier, l'industrie de fourrure s'est développée lorsqu'elle découvrit l'existance de ces animaux . .

     Dans leur environnement naturel, les chinchillas forment des couples qui restent ensembles leur vie durant. La femelle est un peu plus grande que le mâle et porte 2 fois par an. La gestation dure 115 jours pour les chinchillas vivants à environ 2500 m et 125 jours pour ceux vivants à environ 6000 m. A la naissance les petits sont déjà recouverts de poils et en quelques heures, ils savent marcher. Le froid ne les perturbe pas du tout. Ils atteignent leur maturité sexuelle à environ 1 an.

    CARACTERISTIQUES BIOLOGIQUES


       
    • Les chinchillas sont des mammifères. Ils appartiennent à l'ordre des rongeurs. Ceux-ci ont une caractéristique particulière, c'est leur dentition composée d'incisives et de molaires qui poussent continuellement ( quelques millimètres par mois). C'est pour cette raison qu'ils doivent sans cesse ronger pour les user à mesure. Les femelles ont un cycle d'ovulation de 28 jours. Et la gestation est assez courte. Au niveau de l'alimentation les chinchillas sont des herbivores,
    • Le chinchilla a une défence naturelle qui est le "lâcher de poils". En cas d'agression, il a la possibilité d'abandonner ses poils dans le bec ou les griffes d'un prédateur, pour pouvoir s'enfuir.
    • Sa fourrure est constituée de façon à ce qu'il ne craigne pas le froid. (épaisseur, densité, différentes couches). Il possède une belle fourrure très recherchée.

    MUTATION

    CARACTERISTIQUE

    Black Velvet

    Noir velouté et le dessous est plus clair.

    Charcoal

    Du gris au noir sur tout le corps.

    Ebony

    Noir .

    Blanc Wilson

    Blanc avec quelques tâches grises.

    Albinos

    Blanc, ivoire, oeil rouge

    Starlite

    Blanc, oeil rubis

    Beige tower

    Dos et flanc crème ventre blanc

    Champagne

    Plus claire oeil noir

    Standart

    Dos gris foncé, flanc gris clair, ventre blanc.

    Beige velvet

    Tête, dos beige foncé, flanc plus claire, ventre blanc.

    Afro-violet

    Bleu/beige, ventre blanc

    Pastel

    Brun foncé

    Saphir velvet

    Dos et flanc bleuté , ventre blanc

    ENVIRONNEMENT

     


    L'environnement cosmique:

     


    • La pièce où le chinchilla sera installé doit être propre et saine.
    • Il faut éviter les endroits avec de fortes odeurs (odeurs de cuisine forte, fumée de cigarettes...), parce qu'ils ont un odorat très fin et basent leur vie sur celui-ci.
    • De plus, il faut être vigilant au taux d'humidité de la pièce, les endroits secs et sains sont les bien venus.
    • Les chinchillas ne doivent pas être exposés directement aux rayons du soleil (à cause de leur fourrure épaisse qui garderait la chaleur et cela lui serait insupportable), mais la lumière leur est vitale pour un apport en vitamines.
    • courants d'air froid se localisent plutôt en bas, les courants d'air chaud remontants).
    • Il faut le placer dans un endroit calme, évitant tous bruits violents, cependant il s'adaptera très vite aux bruits usuels (machine à laver ....).

      

      

     L'environnement social:

       
    • Les chinchillas peuvent cohabiter avec d'autres rongeurs (lapins, cobayes, hamsters...). Cependant cette cohabitation est déconseillée dans la même cage, car le chinchilla ne doit manger qu'une nourriture appropriée. Sinon, il en résultera des problèmes intestinaux graves (constipation, diarrhée ..). Les chiens et les chats peuvent être de bonne compagnie pour les chinchillas, mais il faut tout de même se méfier. De plus ,ceux- ci peuvent lui transmettre des puces, des germes, des parasites. L'homme peut lui apporter le rhume, la grippe dans certain cas. Donc il faut être très vigilant !

     

    La cage:

    • La cage ne sera jamais trop grande pour le chinchilla. Il a besoin de beaucoup d'espace pour vivre. Il ne faut pas descendre en dessous d'une certaine taille: 1 m de hauteur , 90 cm de longueur , 50 cm de profondeur . La cage doit être haute pour que l'animal puisse sauter et grimper. La dimension des mailles ne doit pas dépasser 2 cm, sinon l'animal peut se blesser et les barreaux doivent être verticaux, pour éviter qu'il ne grimpe jusqu 'en haut sans savoir redescendre, ou bien en sautant et en se blessant. La porte d'entrée devra se fermer avec un bon système, car les chinchillas arrivent très facilement à trouver la combinaison d'ouverture. De plus, si elle est assez large, les manipulations avec la terre à bain ... seront plus faciles.  :


    Les accessoires de propreté :

     

    • Les chinchillas ne doivent jamais être mouillés, car leur poil est très difficile à sécher. Cela peu nuire à sa santé. On doit disposer la boite à bain dans la cage, à l'opposé de la mangeoire pour éviter que la poussière de soufre ne se dépose sur les granulés. Cette baignoire ne doit pas être en plastique, l'idéal est le verre. Elle doit être haute, pour éviter les projections de sable un peu partout. De plus il faut faire attention à ce qu'elle soit stable et ne bascule pas.

    Les accessoires de bien-être :

     

    • L'intérieur de la cage doit être aménagé au plaisir du chinchilla, c'est à dire qu'il doit pouvoir grimper, sauter...On peut donc lui installer des planches en pin, des échelles dans la même matière...mais le tout doit être stable. Cependant il ne faut pas exagérer quant au nombre d'accessoires installés. Il doit avoir à sa disposition un abris pour dormir la journée. Le plus approprié est une petite maison en pin (tout de même à sa taille), fermé de tous les cotés munie d'une ouverture.

     

    • ALIMENTATION

       

      A l'état sauvage, les chinchillas se nourrissent d'herbes sèches, de feuilles, d'écorces de buissons et de fruits. En effet, dans les hauts plateaux de la Cordillère des Andes, la végétation est sèche. De plus, ils s'alimentent avec des plantes cactées: ils en mangent les racines, les tiges, les feuilles et la pulpe. L 'eau est très rare, ainsi les chinchillas ne peuvent boire qu'à la rosée du matin. Son intestin est conçu pour la maigre alimentation qu'il trouve dans cette région.

      Les friandises:

      • Les chinchillas sont très heureux lorsqu'on leur donne des friandises, mais il ne faut pas leur donner n'importe quoi (sucreries, gâteaux...), au risque de les empoisonner. En effet, dans son milieu naturel, le chinchilla n'a pas toute cette nourriture, alors il faut s'en tenir au régime alimentaire de l'eau, des granulés pour chinchillas et du foin. Ceci peut paraître monotone, mais lui évitera des problèmes de santé.

       


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    LES TORTUES DOMESTIQUES
    Les Espèces
  • La tortue d'Hermann
     
  • La tortue Léopard
     
  • La tortue Sillonée
     
  • La tortue Rayonnée
     
  • La tortue des Galapagos
     
  • La tortue Boîte d’Asie à bords jaunes
     
  • La tortue Boîte Américaine à 3 doigts
     
  •  
    L’alimentation des tortues
     
    Il existe différentes espèces de tortues, qui se répartissent entre les tortues aquatiques, terrestres et semi-aquatiques. Elles font toutes parties de l’ordre des chéloniens, dans la classe des reptiles. Si les tortues sont particulièrement appréciées par le grand public, leur détention est, comme pour les autres reptiles, soumises à des connaissances de l’animal et de ses besoins importantes. En effet, on voit malheureusement encore trop souvent des tortues mal alimentées ou mal entretenues. Les erreurs de détention et de nutrition provoquent des pathologies graves et tardivement visibles, donc difficiles à corriger. C’est pourquoi il faut intervenir avant en se renseignant de façon étendue et précise sur les besoins de son reptile.
    Aquatic turtle juvénile food 54gr
  • Les tortues terrestres

    Les espèces méditerranéennes les plus fréquentes sont la tortue de Hermann, la tortue grecque et la tortue marginata.
    Elles sont en général herbivores et folivores donc mangent du trèfle, du pissenlit, des fleurs, des arbouses et parfois des limaces, des escargots et des vers de terre. En captivité elles mangent différents fruits (pomme poire, melon, pêches, fraise, nectarine, tomate, petites quantités de bananes), différents légumes (choux, fèves, concombre, laitue, courgette, pois, brocolis, dent-de-lion, carottes râpées, chou-fleur, choux de Brussel et surtout le cresson), des fleurs (pétales de roses, marguerites de Livingstone dans la famille des ficoïdes, orpins.). Pour compenser les quelques protéines animales que les tortues sauvages mangent, on peut donner 1x par semaine un œuf dur ou un peu de boîte pour chats ou chiens Il est important d’éviter une alimentation trop unilatérale et d’éviter un excès, mais bien de varier au maximum l’offre nutritionnelle. Il est également judicieux de fournir régulièrement un complément vitaminé.


    Ø      Le terrarium. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

             La taille du terrarium devra bien sûr être adaptée à la taille de l’animal, qui dépend en particulier de l’âge et de l’espèce. A titre d’exemple, prévoyez un minimum de 70 cm sur 50 cm pour une tortue de 10 cm de long. <o:p></o:p>
    La température y sera maintenue aux alentours de 26 à 32 °C grâce à un système de chauffage par lampe chauffante, un cordon ou un tapis chauffant placé sous le substrat, le tout régulé par un thermostat et surveillé par un thermomètre. Il faudra respecter un gradient de température le long du terrarium, avec une température plus basse d’un côté (zone fraîche autour de 25°C) et plus haute de l’autre (zone chaude autour de 32°C), sous la lampe chauffante.<o:p></o:p>
    L’éclairage quant à lui sera maintenu 12 heures par jour contre 12 heures d’obscurité. Un programmateur permettra de palier à des oublis possibles. Il existe des lampes à UVB spécifiques pour les reptiles qui sont parfaitement bien adaptées. <o:p></o:p>
    L’hygrométrie sera maintenue naturellement grâce à la présence d’un bac à eau, permettant également l’abreuvement et les bains. <o:p></o:p>
    Prévoyez également des aérations, hautes et basses, pour favoriser la circulation et le renouvellement de l’air.<o:p></o:p>
                      Le sol sera tapissé par du papier absorbant ou mieux, par des substrats spéciaux pour reptiles, plus ou moins absorbants en fonction de l’espèce. .<o:p></o:p>
                      Une petite cabane intérieure sera disposée en zone fraîche afin que votre tortue puisse s’y reposer et s’y cacher. <o:p></o:p>
              <o:p></o:p>
    Le terrarium devra être entièrement nettoyé et désinfecté à la javel au moins deux fois par mois. Les excréments seront enlevés tous les jours.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Ø      Le parc extérieur.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Il sera délimité par un grillage, planté dans le sol à 30 cm de profondeur minimum. Le rebord supérieur sera recourbé vers l’intérieur pour éviter les fugues. Cette aire extérieure sera composée de 4 parties principales : une aire plutôt aride et meuble (sable ou terre), une aire gazonnée plantée de petits arbustes non toxiques, de trèfles et de pissenlits, un bassin d’eau pour l’abreuvement et les bains, et enfin un abri couvert transparent (verre ou plexiglas) tapissé de paille ou de foin. On pourra créer un relief permettant aux tortues de faire un peu d’exercice et choisir un lieu de ponte éventuel. <o:p></o:p>
    Pour les régions à hivers rudes (Nord de la France par exemple), il sera nécessaire de mettre une serre à disposition de vos tortues. Cette serre, délimitée par des parpaings par exemple, sera couverte par une plaque de verre ou une tôle ondulée. Elle sera équipée d'un refuge paillé éventuellement chauffé par un cordon enterré, d'un bassin pour l'abreuvement et d'une zone sablée pour la ponte. Par contre, il faudra veiller en été à ce que la température n’y dépasse pas les 35°C.<o:p></o:p>
     <o:p></o:p>

    Comportement social
    Les tortues sont des solitaires et ne sont pas attirées par une vie familiale conviviale. Ce comportement asocial commence dès la reproduction. La femelle pond son oeuf dans un trou et ne pratique ni la couvée (qu'elle laisse à la charge du soleil) et ne s'occupe pas plus des petits fraîchement éclos. Ces derniers doivent se battre tout seul.
    Comportement perturbé
    Lors de bonnes conditions d'élevage, les animaux robustes ne présentent pratiquement aucun trouble du comportement. La plupart du temps ce sont des éléments perturbateurs auxquels le propriétaire peut lui-même remédier. Par exemple: un manque de place pour pondre provoque la rétention d'oeufs, de même un sol pas assez profond et trop dur ou un mâle récalcitrant qui harcèle sans cesse les femelles peuvent être des facteurs perturbateurs avant la ponte. Il faut séparer les animaux qui sont dans cette phase. De même les combats entre rivaux entraînant des blessures dues à des morsures peuvent être éviter en séparant les sexes. De plus, une mauvaise alimentation, une place froide et mouillée lors d'un coup de froid, une cage peu sûre contre les évasions peuvent aussi provoquer des cas d'urgence!

    Communication Homme-Animal
    Les tortues sont curieuses. Elles connaissent bien leur environnement et n'apprécient pas lorsqu'on y change quelque chose. Une tortue ne joue pas comme un chat ou un chien. C'est une solitaire qui aime la tranquillité. On peut lui parler tranquillement et lui donner un peu de fourrage vert. Elle ne se laisse pas dresser ni changer car c'est un animal sauvage typique. Le thème communication homme-animal se limite donc à un petit répertoire de quelques interactions.

    Les animaux "parlent" avec leurs congénères par la position de leur corps, la position de la queue, des mimiques, des expressions bruyantes et bien d'autres choses encore. Si l'homme sert de compagnon et se substitue à un congénère, il doit alors essayer de combler un peu le déficit. Il peut le faire au mieux en parlant calmement à son protégé, de la même façon qu'il parlerait à une autre personne. Les animaux ont une capacité extraordinaire d'assimilation et comprennent très vite ce que signifie tel mot ou telle tessiture.

    Comportement indésirable
    D
    Les tortues sont curieuses. Elles connaissent bien leur environnement et n'apprécient pas lorsqu'on y change quelque chose. Une tortue ne joue pas comme un chat ou un chien. C'est une solitaire qui aime la tranquillité. On peut lui parler tranquillement et lui donner un peu de fourrage vert. Elle ne se laisse pas dresser ni changer car c'est un animal sauvage typique. Le thème communication homme-animal se limite donc à un petit répertoire de quelques interactions.

    Les animaux "parlent" avec leurs congénères par la position de leur corps, la position de la queue, des mimiques, des expressions bruyantes et bien d'autres choses encore. Si l'homme sert de compagnon et se substitue à un congénère, il doit alors essayer de combler un peu le déficit. Il peut le faire au mieux en parlant calmement à son protégé, de la même façon qu'il parlerait à une autre personne. Les animaux ont une capacité extraordinaire d'assimilation et comprennent très vite ce que signifie tel mot ou telle tessiture.

    Comportement indésirable
    u point de vue de l'homme, la fuite de la cage est "indésirable", une mauvaise habitude très fréquente chez les tortues. C'est particulièrement dans les coins de la clôture que les animaux essaient sans cesse d'aller jusqu'aux limites de leurs capacités à grimper, peut-être parce que de l'autre côté de la limite, un pissenlit invite à se faire manger. Les clôtures devraient être hautes d'au moins 40 cm., des moitiés de tuyaux, des plaques de béton, des palissades de bois sont mieux qu'un grillage recourbé.

    Baromètre des humeurs
    Peu d'analyses ont été faites concernant la bonne ou la mauvaise humeur d'animaux sauvages archaïques tels que les tortues dont nous comptons plus de 200 sortes. Pourtant, tout propriétaire, qui a passé quelques décennies avec sa protégée, sait quelle valeur à tel signal. Il existe par exemple des races telles que la tortue à grosse tête (caretta caretta), qui s'irrite facilement et qui donne furieusement des coups à son propriétaire à l'aide de sa gueule toute grande ouverte, clignant sans cesse sa troisième paupière blanche. Ou la tortue hargneuse qui mord facilement et qui, pour cette raison, n'est pas beaucoup appréciée. En photo nous pouvons voir une tortue d'eau douce qui se prépare à mordre les doigts du responsable, justement parce que les tortues d'eau douce mangent de la viande et des animaux.
     

    Ø      Le terrarium. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

             La taille du terrarium devra bien sûr être adaptée à la taille de l’animal, qui dépend en particulier de l’âge et de l’espèce. A titre d’exemple, prévoyez un minimum de 70 cm sur 50 cm pour une tortue de 10 cm de long. <o:p></o:p>
    La température y sera maintenue aux alentours de 26 à 32 °C grâce à un système de chauffage par lampe chauffante, un cordon ou un tapis chauffant placé sous le substrat, le tout régulé par un thermostat et surveillé par un thermomètre. Il faudra respecter un gradient de température le long du terrarium, avec une température plus basse d’un côté (zone fraîche autour de 25°C) et plus haute de l’autre (zone chaude autour de 32°C), sous la lampe chauffante.<o:p></o:p>
    L’éclairage quant à lui sera maintenu 12 heures par jour contre 12 heures d’obscurité. Un programmateur permettra de palier à des oublis possibles. Il existe des lampes à UVB spécifiques pour les reptiles qui sont parfaitement bien adaptées. <o:p></o:p>
    L’hygrométrie sera maintenue naturellement grâce à la présence d’un bac à eau, permettant également l’abreuvement et les bains. <o:p></o:p>
    Prévoyez également des aérations, hautes et basses, pour favoriser la circulation et le renouvellement de l’air.<o:p></o:p>
                      Le sol sera tapissé par du papier absorbant ou mieux, par des substrats spéciaux pour reptiles, plus ou moins absorbants en fonction de l’espèce. .<o:p></o:p>
                      Une petite cabane intérieure sera disposée en zone fraîche afin que votre tortue puisse s’y reposer et s’y cacher. <o:p></o:p>
              <o:p></o:p>
    Le terrarium devra être entièrement nettoyé et désinfecté à la javel au moins deux fois par mois. Les excréments seront enlevés tous les jours.
    <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Ø      Le parc extérieur.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Il sera délimité par un grillage, planté dans le sol à 30 cm de profondeur minimum. Le rebord supérieur sera recourbé vers l’intérieur pour éviter les fugues. Cette aire extérieure sera composée de 4 parties principales : une aire plutôt aride et meuble (sable ou terre), une aire gazonnée plantée de petits arbustes non toxiques, de trèfles et de pissenlits, un bassin d’eau pour l’abreuvement et les bains, et enfin un abri couvert transparent (verre ou plexiglas) tapissé de paille ou de foin. On pourra créer un relief permettant aux tortues de faire un peu d’exercice et choisir un lieu de ponte éventuel. <o:p></o:p>
    Pour les régions à hivers rudes (Nord de la France par exemple), il sera nécessaire de mettre une serre à disposition de vos tortues. Cette serre, délimitée par des parpaings par exemple, sera couverte par une plaque de verre ou une tôle ondulée. Elle sera équipée d'un refuge paillé éventuellement chauffé par un cordon enterré, d'un bassin pour l'abreuvement et d'une zone sablée pour la ponte. Par contre, il faudra veiller en été à ce que la température n’y dépasse pas les 35°C.

    <o:p></o:p> 

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    La biologie : <o:p></o:p>

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     Son espérance de vie est particulièrement longue: certaines espèces peuvent vivre plusieurs dizaines d’années (voire centaines pour les espèces tropicales comme les Tortues géantes des Galapagos, dont la possession est réservée bien sûr aux parcs zoologiques). <o:p></o:p>

    La ponte peut avoir lieu de quelques semaines à plusieurs mois après l’accouplement, car les tortues peuvent conserver du sperme vivant pendant 2 à 3 ans. Le lieu de ponte sera un sol meuble (terreau ou sable) dans la zone la plus chaude que la tortue aura trouvé. Les jours les plus longs (en juin dans l’hémisphère Nord) sont les plus favorables à la ponte. Les œufs seront placés dans un incubateur à 30,5°C et 75% d’humidité, à demi enfoncés dans de la vermiculite (mica expansé utilisé en bricolage pour l'isolation des locaux, traité ensuite spécifiquement). Il faudra absolument éviter de retourner les œufs. La durée d’incubation est assez variable : elle dépend essentiellement de la température, mais se situe en moyenne autour de 56 jours à 30,5 °C (température optimale).

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    La souris ou souris commune (Mus musculus ) est un petit rongeur de la famille des muridés et du genre Mus.Il existe une quarantaine d'espèces de ce genre.
    La souris est un rongeur assez craintif, mais une fois apprivoisée c'est un animal qui se montre très joueur et affectueux envers ses maîtres et ses camarades.
    Sa durée de vie est de un à trois ans.
    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ //[CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } //]] ]]></script>
     
    Morphologie
    Le corps de la souris, couvert de poils, est séparé en trois parties :
    • La tête porte la bouche et les organes sensoriels pairs (olfactifs, visuels, auditifs).
    • Le tronc auquel se rattachent 2 paires de membres.
    • La queue, située au-delà de l'anus.
     
    La tête
    • Séparée du tronc par un cou bien marqué.
    • Les narines externes s'ouvrent à la face ventrale du museau.
    • La bouche ventrale limitée par 2 lèvres.
    • Les yeux munis de paupières.
    • Les pavillons des oreilles.
    • Les vibrisses organes tactiles.
     
    Le tronc
    Représentation d'une souris dans quatre positions par Jacques de Gheyn (1565-1629)
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    Représentation d'une souris dans quatre positions par Jacques de Gheyn (1565-1629)
    Porte latéralement les 2 paires de membres, ventralement les mamelles et les orifices urinaire, génital et anal.
    Les membres sont pentadactyles avec 3 segments
    La main possède 4 doigts bien développés, terminés par des griffes, un pouce très court et 5 callosités palmaires.
    Le pied possède 5 doigts, bien développés et terminés par des griffes. Aux points d'appui se sont développé des callosités dont la disposition est spécifique.
    Les mamelles La souris possède 5 paires de mamelles :
    • 3 axillo-pectales ou pectorales
    • 2 inguinales ou pelviennes
    Les orificices urinaire, génital et anal Chez la femelle : l'urètre s'ouvre en avant du vagin au sommet d'une papille urinaire. Le vagin s'ouvre au niveau de la vulve. L'anus est séparé de la vulve par un court périnée.
    Chez le mâle : les orifices urinaire et génital sont confondus à l'extrémité du pénis, normalement caché dans un replis cutané, le prépuce. Les testicules normalement intra-abdominaux peuvent descendre chacun dans un diverticule de la cavité abdominale recouvert d'un sac cutané, le scrotum.
    L'anus est localisé à la base de la queue.
     
    La queue
    Aussi longue que le tronc et la tête. Recouverte d'écailles cornées épidermiques disposées en anneaux entre lesquelles s'insèrent quelques poils courts
     
    Alimentation
    Son régime alimentaire est omnivore. Dans le commerce on trouve des mélanges adaptés à ses besoins ; ils sont composés de différents mélanges de graines. Les aliments que vous pouvez lui apporter en supplément aux aliments trouvés dans le commerce sont : pain dur, viande pour un apport en protéines, légumes à donner avec modération car attention à la diarrhée.
    Il faut veiller à ce que l'alimentation des souris ne soit pas trop riche en graisses (par exemple il est préférable de ne pas leur donner des cacahuètes, du fromage ni trop de graines de tournesol). Elles sont très friandes de ces aliments, mais les souris sont prédisposées à l'obésité et au diabète, comme les êtres humains.
     
    Reproduction
    Période de reproduction : toute l'année
    Maturité sexuelle : 5 à 6 semaines
    Nombre de portées par an : 5 à 15
    Durée de gestation : 23 jours
    Nombre de petits par portée : entre 5 et 12 petits
    Les souriceaux à la naissance sont aveugles et se nourrissent du lait de leur mère pendant environ 15 jours.
     
    Comportement
    La souris est un animal sociable avec ses congénères de la même espèce, cependant il est nécessaire de séparer la femelle ayant des souriceaux de ses congénères, car la souris étant omnivore il y a risque de cannibalisme.
    La souris est un rongeur qui n'hiberne pas.
    L'expérience des propriétaires des souris de compagnie montre que les souris aiment la musique, surtout quand elle est assez douce et "classique". Elles sortent même de leur nid pour venir l'écouter.
     
    Quelques espèces
    Une souris domestique
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    Une souris domestique
     
    Utilisation
    Outre son utilisation comme animal de compagnie, la souris a été et continue à être beaucoup utilisée comme organisme modèle en biologie, que ce soit en génétique, en embryologie, en oncologie, en pharmacologie ou en toxicologie. Elle a en effet plusieurs avantages tel que le cycle de vie court, un élevage facile et de faible coût, une faible taille, le fait que cela soit un mammifère avec un gênome proche de celui de l'homme, le nombre important d'études déjà réalisées sur elle ou une natalité importante.
    La souris "nude" a un système immunitaire déficient, ce qui permet aux tumeurs humaines de pousser sur ces souris quand elles sont greffées. L'avantage de ce modèle est que les tumeurs sont très pures (non contaminées par des cellules normales) et que de nombreux traitements, parfaitement standardisés peuvent être essayés.
    En génétique, les généticiens ont créé de très nombreuses lignées de souris transgéniques, qui sont un outil très précieux pour leurs recherches. Une structure américaine, le Jackson Laboratory, possède toutes les lignées de souris transgéniques existantes.
    En toxicologie, des indicateurs, comme la DL50 qui est un indicateur de la toxicité aiguë, sont souvent déterminés sur la souris.
     
    La souris transgénique
    Il s'agit d'une souris dont le patrimoine génétique de ses cellules a été modifié artificiellement.
    La méthode la plus simple est d'injecter le segment d'ADN comportant le gène à étudier directement dans le noyau de l'œuf fécondé. En cas de succès de l'opération, le gène est incorporé en un ou plusieurs exemplaires de façon aléatoire.
    Une méthode plus sophistiquée permet de modifier directement un gène, aboutissant à une souris KO ("knock-out" avec inactivation d'un gène) ou KI ("Knock-in") avec insertion d'un gène actif.
    • Le gène à insérer est mis en place dans un vecteur (plasmide ou virus, entouré de séquences ADN identiques à celui de la cellule normale à la position où on désire l'introduire. Ce gène est couplé avec un gène de sélection (résistance à un antibiotique ou production d'une protéine fluorescente par exemple) qui permettra de prouver la bonne intégration du premier dans le génome.
    • On fait pénétrer le vecteur porteur du gène dans une cellule embryonnaire.
    • On sélectionne alors les cellules ayant intégré le gène grâce à la propriété du gène de sélection. Ces cellules sont alors multipliées en culture et sont injectées dans un blastocèle de souris (cavité d'un embryon). Le tout est réimplanté dans l'utérus.
    • Des souriceaux mosaïque sont alors obtenus : une partie de ses cellules ont un patrimoine génétique normal et une autre partie un patrimoine modifié avec inclusion du gène étudié.
    • Le croisement répété de ces souris mosaïque aboutit dans un certain nombre de cas à des souris homozygotes dont toutes les cellules contiennent le gène modifié.

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  • Fiche d'identité

    lapin, lagomorphe domestique- Classification : mammifère
    - Famille : lagomorphe
    - Alimentation : herbivore
    - Habitat : clapier
    - Reproduction : 4 à 6 mois
    - Gestation : 3O jours
    - Sevrage : 1 mois environ
    - Longévité : 5 à 6 ans

    Un peu d'histoire

    Le plus connu est certainement Bugs Bunny ou celui d'Alice au pays des merveilles, mais ses ancêtres apparaissent déjà en Amérique du nord (à l'ère tertiaire, avant la séparation des continents).

    Les lapins arrivent en Europe par l'Afrique du nord. Ils suivront l'homme dans ses migrations et se feront connaître par les ravages qu'ils créent dans les cultures. Sa domestication aura lieu au moyen âge, par les moines, qui utilisent sa peau et sa viande.


    Sa vie

    En général, il est élevé pour sa chair très diététique. Certaines races comme le lapin Angora ou le Zibeline rex sont élevés pour leurs poils.
    Adulte à 4, 5 mois, la femelle a des chaleurs variables selon la température extérieure et la luminosité (la période la plus propice étant le printemps). L'ovulation est provoquée par l'accouplement d'où les exagérations de certains élevages, qui dès la mise bas remettent la femelle au mâle.

    lapin et lapereau dans clapierLa lapine se fabrique un nid dans le fond du clapier avec de la paille propre, et des poils qu'elle s'arrache du ventre pour dégager ses mamelles et protéger sa progéniture du froid. Elle donne en général naissance à 7 à 8 petits, qui sont aussitôt recouverts de paille et de poils maternels.
    Les lapereaux naissent sans poils, sans dents et les yeux fermés. Ils ne s'aventurent en dehors du nid que vers l'âge de 2 à 3 semaines (suivant la température extérieure).

    lapereau

    Ci-contre un lapereau de 15 jours.

    Les lapereaux ne tètent qu'une fois par jour et peuvent être sevrés à un mois

    lapereau

    Le mâle est toujours prêt à s'accoupler et vit seul dans son clapier.

    Les lapins étant très fragiles, l'alimentation est très importante. S'ils se contentent de granulés complets dans les élevages, une ration alimentaire variée mêlant granulés de luzerne, pain dur, orge, foin et épluchures de légumes, font des lapins heureux.
    Comme tous les animaux les lapins ont besoin d'une bonne litière bien propre, donc il faut curer (changer la paille) assez souvent, très bon pour la musculature des bras.


    Ses qualités

    nid lapereauLa lapine est une bonne mère.
    Les lapins reconnaissent bien la personne qui s'occupe d'eux, et se laissent, avec du temps, assez facilement domestiquer, comme un chat.
    Ils sont très propres et organisés.
    Dans le clapier, il y a généralement un emplacement dédié aux excréments.

    Ci-contre, lapereaux dans leur nid, placé dans un coin du clapier.


    Ses défauts

    Attention au traumatisme, bien que la lapine soit une bonne mère, le manque d'eau (une lapine allaitante peu boire jusqu'à 4 litres d'eau par jour) ou un bruit, un chien, des mouvements trop brusques près des clapiers... peuvent la conduire au cannibalisme et donc à manger ses petits.
    L'intrusion de l'éleveur dans le nid (pour vérifier si tout va bien ou compter les petits) peut aussi provoquer cet accident pour cette raison, il est préférable de faire confiance à la lapine. Néanmoins si cela est vraiment nécessaire, il faut y aller tout doucement, parler à la lapine, avoir des gestes très lents et prendre des crottes de la mère pour s'en frotter les mains (ceci permettant aux mains d'avoir la même odeur que la mère).


    Un peu de science

    Le lapin est un mammifère, c'est un lagomorphe et non un rongeur. Les lagomorphes (famille des lièvres) ont, sur la machoire supérieure, deux paires d'incisives qui ne cessent de pousser (les rongeurs en n'ont qu'une paire).
    Il possède un très long intestin (3 m de long) donc attention aux maladies parasitaire, comme nous l'avons vu précédemment il a besoin d'une bonne hygiène de paille, d'abreuvoir et de mangeoire.

     


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